Distinctions et revue de presse

DISTINCTIONS

  • Prix femmes de mérite, 2020 dans la catégorie Arts, culture et design décerné par la Fondation Y des femmes
  • Finaliste au prix Numix, 2021, (Eva Cayer, une infirmière au front)
  • Prix UNICEF au Concours du prix Japon, 2008, (Sexy Inc. Nos enfants sous influence)
  • Prix « Advocacy » des YWCA du Canada, 2008, (Sexy Inc. Nos enfants sous influence)
  • Finaliste du Prix des Médias d’Au-delà des frontières, 2008, (Sexy Inc. Nos enfants sous influence)
  • Finaliste aux Prix Gémeaux  « Meilleur documentaire », 2002, (Partition pour voix de femmes)
  • Prix Vidéo d’intervention de l’Office des communications sociales, 1997, (Série CSN: Cinq temps d’un mouvement)
  • Prix Cinéma de l’Office des communications sociales, 1992, (Des lumières dans la grande noirceur)
  • Prix Séquences Martini, 1992 (Des lumières dans la grande noirceur)
  • Mention honorifique aux Golden Gate Awards de San Francisco, 1992, (Des lumières dans la grande noirceur)
  • En nomination pour le Prix de la Critique québécoise « Meilleur long métrage », 1985, (“Quel numéro what number?”)
  • Prix de la Critique québécoise « Meilleur long métrage », 1981, (Une histoire de femmes)

REVUE DE PRESSE

  • Documentariste engagée qui ne s’interdit pas le recours à des mises en situation dynamisantes. (…) Tous ses films témoignent d’un sens marqué des personnages et d’une grande clarté du discours.

Sylvain Garel et André Paquet. Les cinémas du Canada (1992)


  • (Être ou paraître? Les jeunes face aux stéréotypes sexuels), un film dynamique qui ne prétend pas apporter toutes les réponses, mais qui vise plutôt à amorcer la discussion.(…) Avec sa réalisation nerveuse et son humour efficace, ce nouveau documentaire produit par l’Office national du film soulève de grandes questions.

Valérie Gaudreau. Le Soleil, 20 novembre 2010


  • Sexy inc. is not a prudish film. It starts with a warning of explicit scenes and sexual content. Sexy inc. does not promote chastity, not does it decry sexual relations or characterize the human body as dirty. Instead, we see how sexuality, something natural and integral to our beings, has become warped and twisted. And girls are lost on the battlefield.

Rachel Sa. Toronto Sun, 2 mars 2008


  • (Madeleine Parent, tisserande de solidarités) Le grand art de la réalisatrice Sophie Bissonnette, c’est sa sensibilité extrême aux êtres qu’elle rencontre qui lui fait percevoir exactement les moments forts d’un parcours, d’un discours, d’une vie et la manière de les faire ressortir en images tout aussi cohérentes, belles et captivantes.

Elaine Audet. Cybersolidaires, 1er avril 2002


  • Taken as a whole, A Score for Women’s Voices is a great achievement, both as an important historical record and an impetus for more social change.

Rosemary Ganley. Catholic New Times. 20 avril 2003


  • Tourné simplement, Partition pour voix de femmes n’en demeure pas moins touchant et bouleversant.

Isabelle Masse. La Presse, 8 décembre 2001.


  • Des lumières dans la grande noirceur est un documentaire très intéressant (…). C’est tout le XXè siècle qu’elle (Léa Roback) raconte, avec une verve et un humour qui font le charme du film. La caméra de Sophie Bissonette est attentive, elle a cette façon d’écouter qui font les meilleurs documentaires.

Serge Dussault. La Presse, mars 1991


  • Généreusement illustré d’extraits d’archives, (Des lumières dans la grande noirceur) de Sophie Bissonnette est passionnant. Et important.

Francine Laurendeau. Le Devoir, 22 mars 1991


  • La riche documentation visuelle portée à l’écran, (…) les très chaleureuses rencontres de Léa Roback avec les compagnons et les lieux de son passé (…) contribuent à faire de Des lumières dans la grande noirceur un film essentiel pour découvrir et comprendre l’histoire du Québec.

Sherry Simon. 24 images, été 1991


  • Bissonnette s’est soumise à la forme qui convenait le mieux à son matériau : chaque film doit trouver sa forme. (L’amour… à quel prix ?) demandait la connaissance des situations, la sensibilité, la qualité d’écoute propre à mettre les protagonistes en confiance (…) Il fallait alors les LAISSER PARLER (…) car c’est la MISE EN PAROLES qui scelle leur victoire.

Michel Euvrard. 24 images, été 1988


  • (Dans « Quel numéro what number?”)  Bissonnette réutilise plus systématiquement les éléments spectaculaires que la réalité avait offerts dans Une histoire de femmes – sketches, chansons, parodies de procès – pour donner au documentaire des allures de comédie musicale (…) ce qui permet à Bissonnette de contribuer, avec un dynamisme allègre, au renouvellement du contenu et de la forme du documentaire engagé. (…) Le souffle dont Madeleine Parent fait preuve (dans Madeleine Parent, tisserande de solidarités) fait écho à la démarche de la réalisatrice, d’une cohérence et d’une détermination exemplaires.

Michel Coulombe et Marcel Jean. Le dictionnaire du cinéma québécois (2006)


  • Sophie Bissonnette’s brilliant documentary « Quel Numéro, What Number?” (…) shows women in the workplace as enslaved to new masters, masters that have memories, that set performance and production levels, that record their every move, that talk back to them, and that are blessedly exempt from any sort of blame or accountability.

Carole Corbeil. Globe and Mail, 23 janvier 1986.


  • (Dans « Quel Numéro, What Number?”, Sophie Bissonnette) constate – mais en fait elle provoque par le filmage lui-même – elle incite les employées à réagir contre cette automatisation et cette dépersonnalisation. Là encore un grand nombre de stratégies différentes, toutes exorbitantes du documentaire traditionnel ou du direct, sont mises en oeuvres. Technique cinématographique, dessin animé, manipulation de la bande sonore, amplification, utilisation des techniques du café-théâtre, chanson; le cinéma est utilisé non seulement comme un moyen de description de la réalité mais également comme un instrument au service des sujets mêmes du film.”

Michel Euvrard. Copie Zéro,  décembre 1986.


  • (« Quel numéro what number ? »): Le résultat est émouvant et fort drôle. ( ..) Un documentaire intelligent, pertinent et indispensable afin de comprendre quels sont les véritables enjeux de cette révolution

Richard Martineau. Cinémaction 1986


  • Le film est tourné de façon intelligente et sensible (…) Une histoire de femmes est un documentaire important, de grande qualité. Du cinéma direct et vrai. C’est passionnant comme un très bon film de fiction dramatique. Et c’est aussi fait avec humour.

Louis-Guy Lemieux. Le Soleil, 14 novembre 1981


  • Beautifully photographed, A Wives’ Tale is slicker and more intense than With Babies and Banners, more culturally accessible than Salt of the Earth. (…) Most highly recommended.

Leigh Marlowe. Psychology of Women Quarterly, mars 1985